Avec cette innovation, la plus importante jamais lancée chez Michel & Augustin, la marque casse les codes d’un produit qui n’a que peu évolué depuis 60 ans, et s’attaque à l’un de ses freins majeurs : sa teneur en sucre et en gras.
La pâte à tartiner est ancrée dans le quotidien (3,5 millions d’acheteurs, 512 millions d’euros de chiffre d’affaire !). Et pourtant 70 % des Français jugent préoccupante la quantité de sucre présente dans la recette. Pas étonnant quand on sait que les ingrédients principaux sont le sucre (à hauteur de plus de 50 %) et le gras… Or 81,5% déclarent choisir des produits avant tout pour se faire plaisir et 69,3% sont prêts à payer plus cher pour des produits de qualité. Et la pâte à tartiner est un produit plaisir par excellence. Crée une pâte à tartiner était donc une évidence pour Michel & Augustin à condition d’apporter de la valeur ajoutée et de répondre aux exigences des consommateurs. Défi relevé : la marque lance un pâte à tartiner deux fois moins sucré, 45 % moins calorique, sans aucun additif, sans huile de palmes, notée Yuka vert. Elle existe en trois versions : Chocolat noisettes (15 % de noisettes torréfiées), Chocolat cacahuètes (20 % de cacahuètes), Chocolat intense (14 % de chocolat et 100 % végétale).
Conservation au frais
Autre nouveauté du produit, il se conserve au frais, une destination encore jamais explorée pour une pâte à tartiner. Les pâtes à tartiner conventionnelles contiennent en effet beaucoup de sucre et de gras, ce qui permet de les conserver à température ambiante. De part sa composition, la pâte à tartiner Michel & Augustin, elle, doit impérativement se conserver au frais. Le frais est indispensable pour la préserver. Aussi en magasin, la pâte à tartiner est retrouver au rayon Beurre, ce qui, somme toute, est pertinent par rapport à son usage et sa fréquentation. De quoi alimenter la réputation de « trublions du goût » de Michel & Augustin.