Selon une étude commandée par la SHLMR, une fois l’ensemble des dépenses engagées pour le mois, les ménages vivant dans le parc privé sont pour la majorité à des soldes négatifs.
À l’inverse, les locataires du parc social bénéficient d’un pouvoir d’achat pour les dépenses « arbitrables », réalisées pour 85 % dans l’acquisition de biens de consommation locaux. « En termes de fiscalité pour chaque euro d’argent public dépensé, les retombées se monteraient, selon les calculs de retour sur investissements, à 1,38 euro « récupéré » au titre de la TVA, de la TFPB, et autres… Les contributions de l’État, à ce titre, sont largement compensées par ces retombées fiscales. La SHLMR souligne d’autre par les effets positifs de son accompagnement social : 18 expulsions seulement malgré 1 620 dossiers d’impayés, maintien dans le logement de personnes âgées évitant des coûts allant jusqu’à 6 736 euros par ménage…