Après le succès de la première édition en octobre 2023, cette nouvelle semaine de rencontres, du 28 au 31 octobre, avait le même objectif : encourager les acteurs économiques locaux à adopter le réflexe « start-up locale ».
Des start-up peuvent poser un regard neuf sur des problématiques sur lesquelles les entreprises privées et les acteurs publics risquent de s’user les yeux. Deux exemples en ont été donnés lors de la cérémonie de clôture de la French Tech Connect réunionnaise. In a city, le groupe EDF a recours à des consultants IT pour des missions spécifiques en passant par la plateforme d’offres de mission et de service Le Hibou (implantée aussi à Maurice), qui prend en charge les formalités administratives de ces missions. Another example, local cette fois, avec Eyako : la start-up réunionnaise a conçu une plateforme de cybersécurité permettant d’identifier et d’éliminer rapidement les vulnérabilités des systèmes informatiques. Sa solution a été retenue par la ville de Dijon et a obtenu de très bons premiers résultats. Commentaire de Julie Van Snick, directrice de la French Tech La Réunion : « Deux leviers forts sont essentiels pour permettre à nos champions de la tech d’émerger : générer du business localement avec des clients locaux, de grands groupes et des collectivités, en étendant cette dynamique au national et à l’international ; et faciliter les échanges entre start-up et l’écosystème des Outre-mer pour stimuler le business entre Ultramarins. »