Mit 2,Pro Jahr werden durchschnittlich 5 Paar Schuhe gekauft, Die Franzosen machen ihren Schuhkauf zu einer nachdenklichen Tat, hauptsächlich preisgetrieben. Der wirtschaftliche Kontext und Veränderungen im Konsum spielen offensichtlich eine wichtige Rolle bei den Kaufprozessen und letztendlich bei der Wahl der Orte, an denen sie getätigt werden.. Le commerce physique demeure la norme, et l’expérience d’achat y est de plus en plus déterminante. C’est ce que nous apprennent les résultats de la dernière étude de consommateurs menée par l’Observatoire économique de la filière cuir.
Le prix pèse lourd dans le choix du lieu d’achat. Pour les chaussures comme pour d’autres produits du quotidien, les Français sont rationnels. Lorsqu’on les interroge sur les raisons qui les poussent à acheter des chaussures sur Internet ou sur celles qui leur font choisir un magasin plutôt qu’un autre, la réponse est univoque : der Preis. Les Français qui achètent des chaussures sur Internet sont 37 % à se dire motivés par la compétitivité des prix affichés, et plus d’un quart plébiscitent la possibilité de comparer les prix. Chez les acheteurs en magasin, 54 % disent choisir leur lieu d’achat selon les prix qui y sont pratiqués. Partant de ce constat, nous avons voulu savoir si les soldes et promotions avaient un impact lors de l’achat de chaussures. Et c’est bien le cas puisque 24 % des Français attendent toujours les rabais pour se chausser — seuls 7 % n’attendent jamais de pouvoir bénéficier de réductions pour procéder à leurs achats.
Le magasin conserve une place importante
Plus de neuf Français sur dix achètent encore leurs chaussures en magasin, dont 52 % exclusivement en magasin et 42 % à la fois en magasin et sur Internet. La population française est donc toujours attachée au commerce physique : cela s’explique notamment par une volonté de voir, de toucher et d’essayer les produits avant l’achat — pour 83 % des personnes interrogées. Le lèche-vitrine, et le plaisir à faire les magasins y sont aussi pour beaucoup. In der Tat, six Français sur dix déclarent entrer dans une boutique après une session de lèche-vitrine et 62 % d’entre eux sont par la suite incités à l’achat (38 % sur l’ensemble de la population). Le plaisir à faire les magasins est la troisième raison avancée par les Français pour motiver l’achat d’une paire de chaussures (par 31 % des Français, 36 % des femmes et 47 % des 18-24 ans). Ce shopping épicurien séduit principalement un public jeune et féminin (sept femmes sur dix et 80 % des 18-24 ans entrent en magasin après avoir fait du lèche-vitrine).
Le contact humain apprécié
Cet attachement au magasin est principalement motivé par le contact humain : 64 % des Français affirment que les relations avec le personnel de vente sont importantes, et près d’un Français sur deux souhaiterait recevoir davantage de conseils et d’accompagnement durant ses achats de chaussures. Darüber hinaus, ils jugent le personnel en magasin suffisamment nombreux (82 %), formé et apte à les aider durant leurs achats (75 %).
L’Alliance France Cuir
Étude « Commerce de la chaussure : où les Français font-ils leurs achats ? » juillet 2024, Observatoire économique de l’Alliance France Cuir. L’Alliance France Cuir porte la voix de 21 fédérations professionnelles. Son observatoire économique est l’unique structure à produire et à diffuser les études et statistiques liées aux activités de l’ensemble de la filière française du cuir. La restitution complète de cette étude est publiée sur www.alliancefrancecuir.org.
Le centre-ville, maillon fragile mais central des achats de chaussures
Bien que plus de quatre Français sur dix choisissent de faire leurs achats en zones commerciales, en périphérie des villes, les boutiques de centre-ville séduisent encore plus d’un quart de la population.
Ohne Überraschung, le prix dépensé est corrélé au lieu d’achat : 65 % des personnes achetant en zones commerciales dépensent moins de 75 euros par paire tandis que 38 % des personnes qui se rendent en boutiques de centre-ville ont un budget de plus de 100 euros. Les prix pratiqués ont donc moins d’impact sur les achats en centre-ville, les acheteurs leur préférant la qualité de l’offre (53 % pour la qualité des produits vendus contre 40 % pour les prix pratiqués). Mais la différence ne s’arrête pas là, on constate en effet que les interactions avec le personnel de vente sont d’autant plus importantes lors d’achat en boutiques de centre-ville (75 % en centre-ville contre 58 % en zones commerciales) — 53 % des acheteurs étant en demande de plus de conseils en point de vente (contre 40 % en zones commerciales). La pratique du lèche-vitrine suit les mêmes tendances puisque 67 % des interrogés choisissant de faire leurs achats en centre-ville entrent dans un magasin après s’être baladés, contre 55 % pour les amateurs de zones commerciales. Et ils sont d’autant plus incités à l’achat post-lèche-vitrine en centre-ville (68 %) qu’en périphérie (56 %). Les boutiques de centre-ville, bien que moins fréquentées, restent un lieu stratégique pour le commerce de la chaussure, l’expérience d’achat étant la clé pour accéder aux placards des Français.
La filière française du cuir en 2023
• 12 800 entreprises.
• 25 milliards d’euros de chiffre d’affaires, dont 19 milliards d’euros à l’export.
• 133 000 emplois dans la filière.
• Quatrième exportateur mondial.
• Troisième exportateur mondial des cuirs et peaux bruts.
• Troisième exportateur mondial d’articles de maroquinerie.