Belle victoire pour le pionnier en France du surimi.
Avec une nette avance sur ses concurrents et 36 % de « je préfère ».
L’étude OpinionWay a été réalisée auprès de 1 034 répondants de 18 ans et plus, représentatifs de la population française. « Nous sommes extrêmement fiers d’avoir été élus marque préférée des Français. C’est un gage de reconnaissance très fort. On espère que cela va nous permettre de continuer à séduire de nouvelles familles, toujours plus nombreuses à déguster nos multiples gammes de produits, pour l’apéro comme à l’heure des repas », déclare Margaux Lambourg, cheffe de produit. C’est à la suite d’un voyage au Japon en 1987 qu’André Nolleau découvre le surimi et décide de l’importer en France. Le premier site de production de surimi d’Europe est alors construit en Normandie, et les premiers bâtonnets de surimi frais en libre-service arrivent en 1989 dans les rayons. La marque Coraya est née. Trente ans ans plus tard, tandis qu’un Français sur deux consomme du surimi, le marché représente plus de 38 000 tonnes achetées par les ménages français, un chiffre relativement stable depuis 2016.
Un engagement pour les fonds marins
Membre du groupe Savencia, Coraya compte près de 400 collaborateurs, dont 250 sont basés en Normandie. Concerné par la pérennité des fonds marins, puisque son surimi est composé de merlu du Pacifique et de colin d’Alsaka, Coraya a fait de la préservation des océans un de ses engagements. À ce titre, le producteur de surimi ne s’approvisionne qu’en poissons sauvages exclusivement issus de la pêche responsable (respect des quotas, des saisons de pêche, des habitats et des écosystèmes marins). En outre, depuis plusieurs années, Coraya a noué un partenariat avec l’association Un Océan de vie afin de récolter des fonds pour lutter contre la pollution des océans. Enfin, chaque année, les collaborateurs volontaires sont invités à venir nettoyer une plage en Normandie. « La préservation des fonds marins passe aussi par la limitation de l’impact de nos emballages sur l’environnement. Dernièrement, nous avons remplacé nos boîtes en plastique par des étuis en carton fabriqués à partir de 95 % de fibres recyclées et recyclables. Ce sont 19 tonnes de plastique en moins par an », fait valoir Margaux Lambourg.